Les zones humides du lit majeur représentent 775 ha, étendues sur 14 communes. Ce qui représente 2,5 % du bassin versant de l’Yères.
La préservation et la gestion durable des zones humides sont d’intérêt général. Tous les travaux sur zone humide sont soumis à la réglementation quelle qu’en soit la surface. (Natura 2000 – Evaluation d’incidence)
Sa richesse, en termes de biodiversité typique des milieux humides, a permis aux parcelles encore naturelles, d’être classées ZNIEFF de type I. En effet, elles abritent une dizaine d’habitats d’intérêts communautaires et des espèces rares à l’échelle régionale ou nationale.
Les zones humides rendent de nombreuses fonctions :
– Fonctions hydrauliques : les zones humides fonctionnent comme des éponges. Elles reçoivent, stockent et restituent l’eau. Elles diminuent l’érosion des sols.
– Fonctions épuratrices : elles filtrent l’eau.
– Fonctions écologiques : elles sont des habitats abritant une biodiversité atypique et remarquable.
Règle 3
Protéger les zones humides pour éviter leur dégradation